Parmi les particules atmosphériques, les plus dangereuses pour la santé humaine sont les particules dites « fines ». Elles ont un diamètre aérodynamique inférieur à 2.5 μm. Suite à leur inhalation, elles pénètrent les voies respiratoires au plus profond, jusqu’aux alvéoles pulmonaires, de là elles peuvent gagner la circulation sanguine puis diffuser vers tous les organes du corps humain.
Cette étude a pour but de montrer l’importance du rôle de l’ammoniac dans la genèse des particules fines, particules fines qui entraînent régulièrement des pics de pollution sur notre territoire, principalement au début du printemps (période de fertilisation des terres) et de l’automne.